Olivier Barrot, dans son émission Un livre, un jour, compare en 1991 l'histoire [archive] à « une tragédie comme dans l'Antiquité » et analyse ce roman à « l'écriture blanche », « incroyablement dépouillée » comme une « allégorie de l'oppression ». Un des deux personnages, Lucas, fuit la Hongrie en 1956, comme Agota Kristof l'avait fait elle-même quand les chars soviétiques avaient envahi Budapest.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Troisi%C3%A8me_Mensonge