Publié en 1985 par les éditions Colona, alors célèbre par son styliste Marc Walter (aussi pour Villégiatures) ces images noir et blanc et dorées livrent un secret… que partage Claude Mauriac, dans la préface du livre : « Et si fidèle que soit Anne Garde à son auteur, elle substitue à son regard et à sont art les siens.(…) Mais une lumière autre en change les perspectives et les reliefs. Celle du soleil, encore qu’Anne Garde privilégie bien souvent les éclairages du crépuscule. Mais surtout, celle intérieure, d’un poète, ici François Mauriac et là Anne Garde. De l’un à l’autre, il n’y a eu déperdition, adultération, ni si peu que ce soit trahison, mais transubstanciation. »